Mazan salie pour longtemps ! de Laurent Sinturel
Citation de PATRICIA Huchot-Boissier le 14 décembre 2024, 21 h 26 minLe procès de Dominique Pélicot et de ses complices ce termine ; c’est l’occasion d’une mise au point sur le vocable idiot qui salit toute une ville, son arrondissement et ses habitants : « viols de Mazan ». Les journalistes des médias dominants n’auront eu de cesse d’utiliser cette expression. Ces commentateurs là, sont tous atteints de cette maladie du psittacisme sans se rendre compte que ce « viols de Mazan » ne rendait pas hommage au courage et l’abnégation de la victime Gisèle Pélicot qui est un exemple pour des milliers de victimes.
Je mets en exergue cette précision imaginotiste pour démontrer à quel point le centralisme français est une maladie gazeuse car nombreux sont les chroniqueurs à qui cette locution ne pose aucun problème, ils sont ignorants de la France et sa pluralité, c’est un travail culturel et historique ainsi qu’un travail sur eux même qu’ils doivent entreprendre d’urgence.
En apogée, je conclurai mon propos par ce fait historique qui curieusement est passé inaperçu lors du procès Pélicot.
C’est en 1772 au château de Mazan que son propriétaire le Marquis de Sade organisa le premier festival de Provence.
Peuchère de Mazan…--
Le procès de Dominique Pélicot et de ses complices ce termine ; c’est l’occasion d’une mise au point sur le vocable idiot qui salit toute une ville, son arrondissement et ses habitants : « viols de Mazan ». Les journalistes des médias dominants n’auront eu de cesse d’utiliser cette expression. Ces commentateurs là, sont tous atteints de cette maladie du psittacisme sans se rendre compte que ce « viols de Mazan » ne rendait pas hommage au courage et l’abnégation de la victime Gisèle Pélicot qui est un exemple pour des milliers de victimes.
Je mets en exergue cette précision imaginotiste pour démontrer à quel point le centralisme français est une maladie gazeuse car nombreux sont les chroniqueurs à qui cette locution ne pose aucun problème, ils sont ignorants de la France et sa pluralité, c’est un travail culturel et historique ainsi qu’un travail sur eux même qu’ils doivent entreprendre d’urgence.
En apogée, je conclurai mon propos par ce fait historique qui curieusement est passé inaperçu lors du procès Pélicot.
C’est en 1772 au château de Mazan que son propriétaire le Marquis de Sade organisa le premier festival de Provence.
Peuchère de Mazan…--
Citation de PATRICIA Huchot-Boissier le 14 décembre 2024, 21 h 34 minMAZAN le 29 novembre 2024 / reponse de Franc Bardou
S’il n’est bon bec que de Paris, n’est-il mal bec que de Mazan ?
D’ailleurs, on peut élargir le problème de Gisèle Pélicot, très involontairement abusée par un homme agissant après de son épouse comme un proxénète au statut tacite de toutes les prostituées du monde que ne se trouvent pas être prostituées par vocation, mais bien seulement par contrainte (contraitnte très souvent physique) ? Quel peut-être leur nombre de par le monde entier ? J’imagine sans effort qu’elles sont largement majoritaires dans « la profession ». J’ai d’ailleurs beaucoup plus de mal à imaginer des « prostituées par véritable vocation ». Et tous leurs « clients » ne sont-ils pas, peu ou prou, des violeurs ? Dès lors, les viols sont loin d’être ceux « de Mazan » ! Ils sont du monde entier, et le drame est universel ! Et il ne s’arrête pas là. En effet, combien de femmes (voire, de très jeunes filles) se trouvent aujourd’hui encore sommées d’épouser tel ou tel homme qu’elles n’ont jamais choisi ni désiré ? Quid du statu de l’époux indésiré connaissant physiquement son épouse contre le désir et le gré de celle-ci ? Ne sont-ce pas également des violeurs ? Dès lors, les humbles citoyens de Mazan étrangers à cette odieuse affaire ont bon dos…
FB
MAZAN le 29 novembre 2024 / reponse de Franc Bardou
S’il n’est bon bec que de Paris, n’est-il mal bec que de Mazan ?
D’ailleurs, on peut élargir le problème de Gisèle Pélicot, très involontairement abusée par un homme agissant après de son épouse comme un proxénète au statut tacite de toutes les prostituées du monde que ne se trouvent pas être prostituées par vocation, mais bien seulement par contrainte (contraitnte très souvent physique) ? Quel peut-être leur nombre de par le monde entier ? J’imagine sans effort qu’elles sont largement majoritaires dans « la profession ». J’ai d’ailleurs beaucoup plus de mal à imaginer des « prostituées par véritable vocation ». Et tous leurs « clients » ne sont-ils pas, peu ou prou, des violeurs ? Dès lors, les viols sont loin d’être ceux « de Mazan » ! Ils sont du monde entier, et le drame est universel ! Et il ne s’arrête pas là. En effet, combien de femmes (voire, de très jeunes filles) se trouvent aujourd’hui encore sommées d’épouser tel ou tel homme qu’elles n’ont jamais choisi ni désiré ? Quid du statu de l’époux indésiré connaissant physiquement son épouse contre le désir et le gré de celle-ci ? Ne sont-ce pas également des violeurs ? Dès lors, les humbles citoyens de Mazan étrangers à cette odieuse affaire ont bon dos…
FB
Revue La Linha Imaginòt, revue occitaniste pluri- culturelle
la Linha Imaginòt, revue pluri- culturelle, anti-centraliste & anti-régionaliste « L’Occitanie laboure le sol avec une charrue culturelle ». n° ISSN 1166-8067
Redacteur en chef : Jacme Gaudas. Fondateur de la publication : Claude Sicre. Assistante de rédaction & photographe Patricia Huchot-Boissier.
Les rédacteurs régulier de la revue : Claude Sicre, Jacme Gaudas, Francis Blot, Michel Battle, Bernard Ferré, Franck Bardou, Sylvain Dauriac, Serge Pey, Laurent Sinturel, Betty Gaël ….
Page Facebook https://www.facebook.com/LinhaImaginot/